Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent perrin
D'une langueur
Monotone.

Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne la fin du match,
Il se souvient
Des classements anciens
Et il pleure

Et il s'en va
Au vent mauvais
des pronos qui l'emportent
Deçà, delà,
Pareil à la
feuille morte

 

Paul Verbopb (novembre 2010)